Comme son nom l’indique, l’assurance-vie représente une garantie permettant au bénéficiaire de profiter d’un capital ou rente versé sur le contrat. Cela s’effectue lors d’un décès ou accident du souscripteur. L’assurance-vie demeure également un objet d’épargne et de retraite pour « cause de vie » en absence de dommage ou risque. Quels sont ses atouts ?
La préparation de la succession
L’assurance-vie reste un véhicule de succession aidant la personne concernée à assurer l’avenir de ses proches. Il faut savoir que la clause respecte des règles bien strictes surtout en termes de fiscalité. En cas de décès du titulaire, le versement des fonds sera hors droit de succession si la limite d’un capital est de 152 000 euros. Généralement, le titulaire se désigne bénéficiaire pouvant ainsi jouir de son investissement au moment de la retraite. Il aura aussi la possibilité de choisir un tiers comme bénéficiaire. Cela fait référence à un mécanisme de donation qui fonctionne de la même manière que la succession.
Une fiscalité profitable
Depuis ces dernières années, l’assurance-vie procure des privilèges indéniables puisque les produits et les intérêts sont hors imposition tout au long du contrat. De plus, les rachats et les retraits sont exonérés d’impôts. Quelques paramètres sont à privilégier comme la date de souscription ou des versements. Cependant, ils sont taxés à hauteur de 35 % pendant les quatre premières années. Quant aux versements, il est possible de réaliser des rachats partiels ou programmés en présence d’un fonds en euros sécuritaire et unités de compte. L’assurance permet d’effectuer une gestion personnalisée vu les options accessibles par les contrats. Elle s’adresse à tous en respectant les modalités d’adhésion. La réglementation de l’assurance-vie ne stipule aucune limite concernant le montant à verser. De même pour la durée de détention du contrat, conservé jusqu’au décès du souscripteur.